Les sabots d'un destrier retentissaient contre les murs du château. Les bruits du pavé réveilla un valet près du perron.
Celui-ci reconnu l'arrivant et s'avança, dans une lithargie somnolente, vers Grako et sa monture.
Le baron se déchut de son encombrante lance et la remit au servant qui eut bien du mal à savoir comment la maintenir.
S'en allant vers les écuries, il y laissa son cheval âgé et regagna, contre la froideur de la lune, les portes du domaine.